•  Tigertailz Band

     

    Lassé des problèmes d'égo de ses anciens acolytes Kim Hooker et Ace Finchum, le guitariste d'origine Jay Pepper a rappelé le batteur Matt Blakout et a fait appel au chanteur Jules Millis ainsi qu'au bassiste Rob Wylde pour donner un second souffle à la formation de Cardiff.

    Dans le genre un maximum d'efficacité en un minimum de temps  TIGERTAILZ remporte la le challenge avec cet EP de 5 titres baptisé Knives, sorti chez Scarlet Records. 

     Ce sont les premiers enregistrements studios du groupe  de Glam Rock en six ans. Des riffs d'acier, des solos en forme d'uppercut en pleine tronche et des choeurs mémorisables, TIGERTAILZ revient en force pour son 30ème birthday. 

             

    Knives

     


    votre commentaire
  •  Walking Papers Band

    Photo : Dean Karr

     Le groupe de Seattle Walking Papers, récemment vu en première partie de Whitesnake sur la tournée européenne, sort un premier album éponyme. Duff McKagan (Guns N' Roses, Velvet Revolver) et  Barrett Martin (Screaming Trees, Mad Season) se sont associés pour ce projet avec Jeff Angell et Benjamin Anderson (tous les deux membres de  Missionary Position). A noter également la participation de Mike McCready, le guitariste de Pearl Jam sur deux titres. Walking Papers construit un pont solide entre coups de machette et psychédélisme.

    Cet album vital est sorti chez nous sur le label Loud & Proud Record 

    Walking Papers Cover

     

     Tracklist:

     1. The Whole World's Watching 3:50

      2. Your Secret's Safe With Me 4:14

      3. Red Envelopes 3:41

      4. Leave Me In The Dark 4:19

      5. The Butcher 2:51

      6. Two Tickets 5:06

      7. I'll Stick Around 4:42

      8. Capital T 4:56

      9. A Place Like This 4:30

      10. Independence Day 5:09

      11. Already Dead (Kill Room) 4:46

      12. Two Tickets And A Room (Kill Room) 5:13

      13. Leave Me In The Dark (Orchestra) 4:46

      14. The Whole World's Watching  4:18


    votre commentaire
  • On adore les groupes irlandais sur ce blog. Après The Answer et Million $ Reload, voici la nouvelle petite merveille de Belfast, Ajenda qui sort un premier album de qualité 'Unrecognizable'. Jen, la chanteuse a du coffre !

    "Tattoo" est le premier single de ce CD déjà disponnible sur iTunes !

    Infos :  https://www.facebook.com/pages/AJENDA/174619224854

     


    votre commentaire
  •  KING KOBRA

    Crache ton venin !


    King Kobra est né à l’époque où  la sidérurgie était encore une industrie de pointe. Près de trente  ans plus tard, ses membres continuent à couler le plomb et l’acier. King Kobra II, le… septième album est brut et vif comme un cran d’arrêt et, à ce titre constitue le plus frappeur des enregistrements du groupe. Attention, la morsure du cobra royal est redoutable.[Entretien avec David Henzerling (guitare) par Philippe Saintes - Photos : Frontiers Records] 

    King Kobra


    Comment qualifierais-tu le nouvel album par rapport aux précédents ?

    Lorsque le groupe d’origine, à l’exception du chanteur Paul Shortino, s’est reformé il y a deux ans, l’idée était de recréer l’atmosphère «Ready To Strike », qui est considéré comme l’album référence de King Kobra. A l’époque de notre premier disque, les idées s'étaient assemblées principalement avant d’entrer en studio. Pour KK II, notre second album avec Paul, nous avons échangé des fichiers par Internet ou des idées en studio de répétition, où nous nous retrouvions chaque fois que c’était possible. Ils n’y avaient aucune esthétique préconçue. En tant que compositeur, je souhaitais avant tout échapper à la structure classique couplet refrain – couplet – pont – refrain, etc… Nous avons tous grandi sur le plan musical mais aussi sur le plan humain depuis les années’80.

    On entend des musiciens qui prennent un plaisir évident à jouer ensemble.

    C’est vrai. Si nous continuons à jouer après tout ce temps ce n’est bien sûr pas pour l’argent. L’ambiance générale qui se dégage de l’album est comparable à ce que l’on peut ressentir lorsqu’une bande de copains jouent quelques morceaux juste pour passer du bon temps ; en toute simplicité, pour le plaisir d’être ensemble et de transmettre une énergie positive. 

    Le Blues et le rock ‘70s sont très présent sur cet album.

    La rythmique très épurée est effectivement proche du blues J’ai grandi avec cette musique dans les années’70 et Carmine (Appice, batteur) a joué avec de nombreux bluesmen (Pat Travers, ). KK II est un album fidèle à nos racines. Nos autres influences sont évidemment Led Zeppelin, Black Sabbath, Deep Purple. On s'est nourri de cette musique. 

    Quels sont les morceaux les plus originaux de l’album ?

    Au niveau des textes, je dirais « Take Me Back » et « Have A Good Time » pour leur ton décalé. Musicalement, « Deep River » qui est très différent de ce que l’on avait l’habitude de faire et « Got It Comin’ », un morceau plus ‘pop’. J’aime aussi ce registre. 

    David Henzerling (Kink Kobra)

     

    Il y a du beau linge sur l'album et aussi dans la vidéo du single "Have A Good Time".  

    Ron Keel, 'Pete' Loran (Trixter) et Frank Di Minno, l’ancien vocaliste d’Angel chantent avec nous sur « Have a Good Time ».  Robert Mason de Warrant est dans les chœurs sur « Take Me Back ». Le clip de « Have a Good Time » a été enregistrée à Las Vegas où réside Paul Shortino depuis plusieurs années.  C’est un gars très jovial et il connaît pratiquement tout le monde là-bas. Il a invité toute sa bande de potes dans le clip. Zakk Wylde ainsi que Ace Frehley qui a été une influence énorme pour moi, sont également venus faire un clin d'œil à la caméra.

    Certains boudent encore les machines numériques. Et tois, regrettes-tu aussi l'époque analogique ?

    Non ! J’adore les nouvelles technologies. Les nostalgiques qui défendent les vieilles méthodes oublient que dans les années’80, travailler en studio coûtait excessivement cher et qu’il fallait enregistrer très vite. Aujourd’hui on peut avoir son home-studio et prendre le temps de créer et puis ça réduit énormément les frais.

    Tu as également produit et composé tous les titres de l’album du groupe Steelshine. Tu n’es donc jamais à court d’idées ? 

    L’album de Steelshine est très cool ! J’invite tes lecteurs  à aller jeter une oreille. En fait, je n’ai jamais cessé d’écrire et d’enregistrer sur mon ordinateur, mon portable. Je pourrais facilement sortir 60 albums rien qu’avec des nouvelles chansons (rires). Professionnellement ? Je conçois des logiciels informatiques pour LiveNation/Ticketmaster et je gère mon propre label Driver Wild Music. La compositions de chansons est un simple hobby.

    Comment définirais-tu en quelque mot tes comparses dans King Kobra ?

    Carmine, c’est la classe, un ami de plus de trente ans. Paul Shortino est chanteur sous-estimé, je n’en connais pas beaucoup de cette trempe. Mick Sweda (guitare) est un perfectionniste. Nous avons des styles bien différents tous les deux mais très complémentaires un peu comme Joe Perry et Brad Whitford d’Aerosmith.  Enfin,  Johnny Rod est un vrai cinglé (rires…), c’est pour cela que je l’adore. C’est avant tout un fantastique bassiste ! 

      King Kobra II Cover

    KING KOBRA

    King Kobra II

    Frontiers / Harmonia Mundi

    Hard Rock 

    Après un retour  remarqué en 2011 avec King Kobra I, digne successeur du cultissime Ready To Strike (1985),  la bande à Carmine Appice a cette fois pondu un album « vintage ». Les cinq potes fêtent leur retrouvaille dans un banquet rock’n’roll à base de bonnes vieilles recettes comme en atteste « Hell On Wheels », la plage d’ouverture de ce CD riche en surprises. Certaines ambiances rappellent Led Zeppelin (« Deep River »),  Deep Purple (« Knock ‘Em Dead »), Van Halen (« The Ballad Of Johnny Rod »)  et même les Black Crowes (« Take Me Back »), ce qui résume parfaitement l’état d’esprit de cette formation (énergie, technique irréprochable et un brin de folie pour pimenter le tout). King Kobra modernise un genre balisé depuis 30-40 ans. Paul Shortino dont le timbre de voix se situe entre Joe Lynn Turner et David Coverdale, est certainement la révélation de l’album. L’ex Rough Cutt/Quiet Riott s’éclate et cela s’entend. Les guitares apportent ce qu’il faut de riffs et de solos inspirés et la rythmique fait son taf ! Douze excellents titres pour un excellent groupe qui concourt dans la catégorie disque de l’année. [Ph. Saintes] 


    votre commentaire
  • Roger Waters (ex-Pink Floyd) a donné devant plus de 35.000 personnes, le 20 juillet, sur la plaine de Werchter, une version "live" impressionnante du double album autobiographique "The Wall", sorti en 1979. L'album a déjà été vendu à 40 millions d'exemplaires. Le clou du spectacle : un "mur" haut de 12 mètres et long de 150 mètres.

     

     

     

     


    votre commentaire
  • Nous vous proposerons à la rentrée une interview de David Michael Philipps, le guitariste de

    King Kobra. En attendant voici la vidéo de "Have A  Good Time", le premier single de l'album

    King Kobra II (on y reconnaît notamment Ace Frehley, Vinnie Paul et Zakk Wylde). 

    Bonnes vacances ! 

     

                                                                                                                             Flupke !  

    KING KOBRA : 

    Carmine Appice - batterie
    Paul Shortino - chant
    David Henzerling alias David Michael Philips - guitare
    Johnny Rod - basse
    Mick Sweda - guitare


    votre commentaire
  • La 18ème  édition du Graspop n’est plus qu’un souvenir. 136.000 personnes sont venues faire la java sur la plaine de Dessel, en Belgique. Trois concerts sont sortis de lot pour faire l’unanimité. Le premier, c’est celui de Twisted Sister qui malgré la pluie battante a enchaîné vendredi les tubes à un rythme infernal, sans jamais laisser tomber la cadence. De « We're Not Gonna Take It » à « Come Out and Play » en passant par « I Wanna Rock » ou « It’s Only Rock’n’Roll (But I Like It) », le tube des Rolling Stones : que du lourd !  

    Samedi, les monstres de Slipknot ont eux aussi délivré un show mémorable. Les spectateurs ont bravé des conditions climatiques difficiles pour assister à cette véritable orgie du metal. Au sec, la fête est encore plus folle. Dimanche, le festival s’est en effet poursuivi sous un grand soleil. Le groupe que tout le monde attendait, Iron Maiden, a porté l’estocade avec le show Maiden England qui fit son succès à la fin des années’80. L’on pouvait craindre qu’en vieillissant, les Anglais ne s’assagissent et que leur redoutable efficacité ne s’émousse. Cette tournée qui est également passée par le Sonisphere début juin, tend à nous rassurer quant à la vitalité de la bande à Steve Harris. Un spectacle très professionnel quelque peu gâché par la mauvaise sonorisation.   

    Mention très bien encore pour King Diamond, Saxon, Helloween et Newsted. Comme dit le proverbe : oldies but goodies ! 

    Compte rendu détaillé + photos dans le prochain Metal Obs : http://www.metalobs.com/

                                                                                                                 Philippe Saintes 

     

     


    votre commentaire
  • Le serpent blanc a encore réussi à satisfaire son public de fidèles venus nombreux dans la mythique salle de l’AB. On émet toutefois quelques doléances car même si nous adorons David Coverdale, nous n’en perdons toutefois pas notre sens critique. Tout d’abord, la durée un peu juste du set (1h30) entrecoupé de solos des deux guitaristes et d’un solo de batterie totalisant un quart d’heure de break. Même si ces démonstrations sont impressionnantes et ont toujours fait partie des concerts du Snake, le public se déplace surtout pour voir et entendre David Coverdale. Le chanteur quant à lui a perdu de sa puissance vocale. C’est indéniable ! Par contre, et pour notre plus grand bonheur, DC n’a rien perdu de sa superbe voix lorsqu’il chante a capella des titres obscurs comme « Blindman » à la demande de ses fans. Ces improvisations spontanées sauvent la mise et prouvent que le seul problème de DC est de ne plus avoir le coffre nécessaire pour percer ce mur de guitares. Sa voix reste chaude et suave.

      David Coverdale et Michael Devin

     

    La bête de scène reste aussi égale à elle-même : une communication exceptionnelle (le leader parvient à émouvoir son public, à le faire rire même à plusieurs reprises grâce à quelques allusions chargées d’autodérision et aussi à le chauffer à blanc), le jeu avec son pied de micro reste son apanage personnel et demeure redoutable. Les classiques s’enchaînent engendrant à chaque fois une clameur de satisfaction. « Is This Love », « Gambler », « Ready And Willing », « Still Of The Night », « Here I Go Again », « Fool For Your Loving », ... Il manquait néanmoins quelques titres essentiels comme “Slide It In”, “ Crying In the Rain » ou encore « Ain’t No Love In the Heart of the City”. Au rappel, le bassiste de Guns and Roses, Duff McKagan, est monté sur scène pour une jam enthousiaste. Bref, au final, ce concert restera un bon souvenir. L’avenir du chanteur se verrait plutôt dans une version acoustique. Ce que David Coverdale aurait déjà laissé sous-entendre. Wait and see...   

    David Sporcq  

    Reb Beach

    Doug Aldrich

    Tommy Aldridge

    Reb Beach et Doug Aldrich

    David Coverdale

    Duff McKagan

    Duff McKagan et Doug Aldrich

    Copyright Phil de Fer © 2013


    votre commentaire
  •  Graspop 2013

    http://www.graspop.be/fr

    La saison des festivals a débuté. Nous vous proposerons cet été des photos exclusives du Hellfest et du Graspop, deux festivals que nous avons la chance de couvrir cette année pour Metal Obs’.

    Stay Tuned !

     

    Phil de Fer

     

    Hellfest 2013

     

    http://www.hellfest.fr/

     


    votre commentaire
  •   TIMO TOLKKI’S AVALON

     Nouvel espoir

     Cinq ans après qu’il ait quitté Stratovarius, on ne donnait plus très cher de la peau du guitariste Timo Tolkki dont le dernier domicile connu était le groupe Symfonia. Et voilà que sans crier gare, le Scandinave revient en force avec le premier chapitre d’une trilogie sur la quête d’un nouvel Eden. Il nous dévoile quelques indiscrétions sur ce nouveau projet. [Entretien avec Timo Tolkki (guitare) par Philippe Saintes - Photo : Frontiers Records] 

     

    Timo TolkkiComment parler de The Land of New Hope, sans en dire trop pour attiser la curiosité ? 

     C’est l’histoire de la destruction de l’humanité par les tsunamis et tremblements de terre. Un petit groupe de survivant part alors à la recherche d’un nouveau monde  (The Land of New Hope). Celui-ci  existe mais il est protégé par un gardien qui ne laisse passer que les âmes pures. Cette quête est le fil rouge. L’inspiration est venue rapidement. J’ai commencé à composer en août 2012 et au mois de février l’album était en boîte. Il contient dix bonnes chansons.   

    Elize Ryd est ta principale  complice sur cet album. Comment l’as-tu repérée ?

     Serafino Perugino, le président de Frontiers Records me l’a recommandée. Il m’a envoyé par mail le lien d’une  vidéo sur You Tube, de son groupe Amaranthe. J’ai été impressionné. C’est une chanteuse de grand talent. Je l’ai appelée et elle m’a immédiatement rejoint en studio. Je tenais beaucoup à avoir une voix féminine sur l’album. 

    Les participations d’invités de marque sont toujours à double tranchant. Ne crois-tu pas que les gens retiendront davantage la présence Michael Kiske, Rob Rock,  Sharon Den Adel ou Russell Allen plutôt que ton jeu de guitare ?

     Je ne le pense pas, du moins si j’en crois les réactions que j’ai pu glaner ici ou là. J’ai imaginé le rôle de chacun des musiciens avant même d’écrire l’album. L’entente a été parfaite. Vocalement bien sûr, je me sens un peu dans l’ombre. Quand un  type comme Michael (Kiske) s’exécute au chant, je préfère noyer le poisson et me concentrer essentiellement sur mon jeu de guitare et sur la production (rires) !  

    Timo Tolkki et Elize RydAutre invité : Jens Johansson. La hache de guerre est donc définitivement enterrée avec Stratovarius ?

    J’aimerais que ce soit le cas mais les années passent et avec elles les rancœurs. C’est dommage ! Pour ceux qui veulent connaître la vérité, j’explique tout dans la foire aux questions (FAQ) sur mon site : www.tolkki.org. 

    Comptes-tu écumer les salles avec ce nouveau projet ?

    On en discute mais rien n’est prévu pour l’instant.

    Sur Facebook on a pu lire cette allusion de Tobias Sammet (Avantasia) : «  Les albums de metal symphoniques pullulent en ce moment et je dois m’y faire. S'inspirer du travail d'un autre est aussi une source d'inspiration. Au sujet de Timo Tolkki que puis-je dire ? C’est un type bien et il fait ce qui lui plaît. Je lui souhaite beaucoup de succès. » Ton sentiment sur ces propos ?

    Nos groupes débutent par « AVA » et alors ? Il est ridicule de vouloir tirer des comparaisons hâtives et sommaires. Je me suis juste inspiré du film The Mists of Avalon pour le nom. Au début des années ’90, j’ai fais partie des pionniers qui ont créé un nouveau genre appelé « Power Metal ». Lorsque j’ai rencontré Toby pour la première fois en Allemagne en 1995, il s’est fait passer pour un journaliste dans le simple but de m’approcher. Il a sorti un lecteur CD et m’a demande de produire son groupe Edguy. C’est ce que j’ai fait avec l’album Vain Glory Opera, juste pour remettre les choses dans leur contexte.  

     Timo Tolkki's Avalon Cover

    TIMO TOLKKI’S AVALON

    The Land Of New Hope

    Metal Symphonique

    Frontiers / Harmonia Mundi

    Timo Tolkki aurait-il enfin trouvé chaussure à son pied avec cet Avalon ? On ne saurait l’assurer avec certitude tant le gaillard est désormais passé maître, de son propre chef ou pas, dans les enfièvrements immédiatement suivis  de douches froides (cf. les anecdotiques Revolution Renaissance et Symfonia). Ce nouveau projet n’est pas à proprement parler l’archétype de l’originalité, rivé qu’il demeure à la proue d’un metal symphonique dont Ayreon et Avantasia ont dessiné les contours. Premier bon point : la liste des invités est de qualité,  Russell Allen (Symphony X), Tony Kakko (Sonata Arctica), Sharon Den Adel (Within Temptation), Michael Kiske (Unisonic, ex-Helloween), Elize Ryd (Amaranthe), Jens Johansson (Stratovarius), Derek Sherinian (Black Country Communion, ex-Dream Theater) et Rob Rock (Impellitteri). Deuxième bon point : rayon efficacité, des petites perles du calibre de « Avalanche Anthem », « In The Name Of The Rose », le galopant « To The Edge Of The Earth » ou l’épique « The Land Of New Hope », ont suffisamment d’atouts pour éclipser bon nombre de ritournelles boxant dans la même catégorie. Les connaisseurs apprécieront. [Philippe Saintes] 

     


    votre commentaire