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BLUE OYSTER CULT : The Symobol Remains
BLUE OYSTER CULT
The Symobol Remains
Frontiers Music
L'album commence très fort. L’enchaînement des 4 premiers morceaux est parfait : « That Was Me » pour Eric Bloom, « Box In My Head » pour Buck Dharma, « Tainted Blood » compo de la paire Bloom-Castellano et « Nightmare Epiphany » - signé une fois encore Buck Dharma - un titre plus léger, plus pop avec son break rockabilly et sa magnifique fin aux allures d'improvisation. Viennent ensuite « Edge Of The World » et « The Machine », deux titres écrits par Richie Castellano qui collent moins au Cult traditionnel. « Train True » et son côté bluegrass est une nouvelle perle surprenante qui colle parfaitement à la voix de Buck Dharma. « The Return Of St Cecilia » est un bon titre rock sans surprise. Sur « Stand In Fight », hormis le timbre de voix de Bloom qui lui va comme un gant, on n'accroche pas vraiment à ce "plagiat" ou "hommage" à Metallica. Et revoilà le père Dharma au sommet de sa forme avec « Florida Man », un soft rock accrocheur calibré pour les radios. « The Alchemist », composé par Castellano, est paradoxalement le titre le plus proche du BOC des seventies, à savoir un titre théâtral, avec un piano omniprésent et une accélération Maidennienne à la fin. Cela prouve bien que ce dernier a sa place dans le Cult actuel. On enchaîne avec une autre perle, « Secret Road », le petit frère de « Box In My Head ». « There's A Crime » est le dernier titre chanté par Bloom et peut-être le plus faible de l'album. Pour enfoncer le clou, Buck Dharma termine en beauté avec le mélodique « Fight ». Sur ce très bon album du Cult, l’auditeur exigeant y trouve intégralement son compte. [Martial Jonard]
Tags : BLUE OYSTER CULT, The Symobol Remains, chronique, Eric Bloom, Donald “Buck Dharma” Roeser, Richie Castellano
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Commentaires
Pas leur meilleur à mon avis.
Merci pour tes remarques/commentaires Eric.
Bravo pour ton site !
Keep on rockin' in the Free Wolrd ! : - )