Le chanteur-bassiste de Motörhead est mort ce mardi à l'âge de 70 ans.

Comme l'écrit Ute Kromey, PR chez SPV... moi je vais me mettre "No Sleep 'til Hammersmith" à fond...

Vivian Campbell, actuellement en tournée avec Def Leppard au Royaume-Uni, rejoindra les membres de Black Star Riders, samedi prochain sur la scène de Sheffield. Le guitariste pourrait également interpréter un titre avec Whitesnake (formation au sein de laquelle il a évolué de 1987 à 1988) à l’occasion de cette dernière date de la tournée « Let's Get Rocked in the Still of the Night II ». Campbell jouerait donc dans  trois groupes le même soir.

à ne pas manquer
 « The Final Countdown » + « Days of Rock'n'Roll »

SAMEDI 12 DECEMBRE

 en ouverture de l'émission

 Les Années Bonheur

 à 20h45 sur France 2

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LAST IN LINE

“Heavy Crown”

Le 19 février prochain, Frontiers Music SRL sortira l'un des albums de Hard Rock les plus attendus de l'année 2016 : le premier CD de LAST IN LINE, "Heavy Crown". Composé de trois membres originels de DIO : Vivian Campbell (Def Leppard, guitare) Vinny Appice (batterie) et Jimmy Bain (basse), ce groupe s'est baptisé "The Last In Line", en référence à l'album du même nom enregistré par DIO en 1984.

Le premier single de 'album est la plage d'ouverture "Devil In Me"  :

INFOS 

Au cours de l'année 2014, le groupe a écrit et enregistré 12 chansons avec l'aide d'un  ami de longue date, le producteur Jeff Pilson. C'est en février 2016 que sortira Heavy Crown, avec le titre "Devil In Me" pour mener la charge. Le groupe s'embarquera ensuite pour une tournée américaine et européenne avec une setlist mélangeant  nouveautés et les classiques de l'ère Dio.

Vivian Campbell : “Quand on a commencé ce projet il y a quelques années, l'idée de base était juste de réunir les musiciens originels de DIO et jouer les titres écrits et enregistrés avec Ronnie au début des années 1980. Nous avons donné  quelques concerts avec Andrew Freeman au chant dans le sud de la Californie, en Angleterre et au Japon. Notre seule ambition était de faire un peu de musique, mais cela nous a rappelé de nombreux souvenirs et réunis autour de notre histoire commune.”

Les nouvelles chansons de Last In Line ont été écrites par les quatre membres du groupe. “Quand nous avons commencé le projet Last In Line, l'objectif n'était pas d'écrire ou d'enregistrer de nouvelles chansons", explique Campbell, “mais quand Frontiers nous a offert cette opportunité, nous avons décidé de réaliser un album dans le même état d'esprit que celui dans lequel nous trouvions au moment d'enregistrer Holy Diver ;  en 1982, Ronnie, Vinny, Jimmy et moi étions entrés aux studios Sound City pour travailler quelques riffs, et six semaines plus tard nous avions les titres de Holy Diver.”

Vivian Campbell compte prendre le temps de partir en tournée avec Last In Line, quand il ne sera pas sur les routes avec Def Leppard.

Last In Line (de gauche à droite): Andrew Freeman, Jimmy Bain, Vivian Campbell, Vinny Appice.  Photo par Ross Halfin. 

2^è partie de notre entretien avec David Coverdale. Lors de cette chaleureuse conversation, l'artiste évoque sa première répétition avec Deep Purple pour l’album Burn,  au fameux Clerawell Castle, en 1973.  

Entretien téléphonique avec David Coverdale réalisé à l’occasion de la sortie du « Purple Album » de Whitesnake. Dans cette première partie, DC évoque son arrivée au sein de Deep Purple en 1973 et sa collaboration avec Ritchie Blackmore et le regretté John Lord, ses deux « professeurs ». [Phil]

Forest National rouvrait ses portes ce 1^er décembre pour accueillir David Coverdale et son tout puissant Whitesnake. La salle était toutefois limitée à sa version club. Le public présent qui avait osé braver la menace allait profiter d’une soirée inoubliable. {Report par David Sporcq - Photos : Phil de Fer}  

Après que les Dead Daisies eurent réchauffé honorablement l’ambiance de leur hard rock’n’roll sans surprise, le Serpent Blanc teinté de pourpre pour l’occasion, se montra à nouveau digne de sa réputation. D’emblée, le groupe entre dans le vif du sujet en interprétant un « Burn » magistral. S’enchaînent rapidement « Love Ain’t No Stranger » et « Bad Boys ».

David Coverdale : "Love Ain't No Stranger"  (© Phil de Fer 2015)

Mais les fans de Deep Purle Mrk III et Mrk IV qui réclamaient des titres de cette époque depuis des lustres, allaient être servis par pas moins de cinq autres pépites du pourpre profond : « Keep On Moving », « Mistreated », « The Gypsy », « You Fool No One » et « Soldier Of Fortune ». Ce dernier interprété à la guitare acoustique sur le devant de la scène. Ces morceaux d’anthologie issus du dernier opus « The Purple Album » sont un magnifique hommage que Coverdale rend au groupe à qui il doit tout. Au cours du set, il fera également référence aux deux disparus Tommy Bolin et John Lord. Reprendre en live  ces hymnes intouchables était une prouesse que les musiciens actuels de Whitesnake  ont pu réaliser avec une grande maîtrise technique. Le tout gorgé de sensibilité et de respect pour le plus grand bonheur des anciens fans (bien présents) mais aussi des plus jeunes qui ont pu ainsi  enfin les découvrir en concert .

Joel Hoekstra (ex-Night Ranger) et Reb Beach (© Phil de Fer 2015)

Le show s’est poursuivi par les incontournables tels que « Gimme All Your Love », « Is This Love », « Fool For Your Loving », « Ain’t No Love In The Heart Of The City », “Here I Go Again” et « Still Of The Night » en rappel. Les premières notes de chacune des chansons provoquaient une clameur de satisfaction et d’approbation du choix de la set list.

David Coverdale, le maître (© Phil de Fer 2015)  

Bien sûr, comme de coutume, chacun des musiciens a eu droit à son petit solo, véritable démonstration de leur talent respectif. Ces brefs interludes permettent à David Coverdale de changer de chemise et de revenir avec toute sa fougue caractéristique. Le chanteur n’a d’ailleurs rien perdu de sa superbe rassurant ses fans et médusant les plus sceptiques. La crinière ondulante, très en forme, il faisait tourbillonner son pied de micro dans les airs, le tournant régulièrement vers la fosse pour faire participer la chorale de Bruxelles. Ses danses sensuelles, ses clins d’œil, ses sourires de tombeur ont une fois de plus fait des ravages dans les premiers rangs. Quelques poignées de mains serrées, des signes sympathiques, la main sur le cœur, la bête de scène sait communiquer avec son public qu’il apprécie avec sincérité. Cette longue amitié continue. Il lèvera le verre de bière belge mis à sa disposition en louant les plaisirs de notre pays. Il placera aussi quelques mots en Français bienvenus.

Le fidèle Tommy Aldridge derrière son impressionnante batterie  (© Phil de Fer 2015)

DC terminera ce set plus long d’un bon quart d’heure par rapport à son dernier passage à l’Ancienne Belgique en remerciant ses fans pour avoir eu le courage de venir malgré la menace terroriste et, en prononçant sa phrase désormais lourde de sens « don’t let anybody, ANYBODY make you afraid ». Ce qui lui vaudra une puissante et émouvante ovation des irréductibles ravis, conquis, comblés qui étaient venus ce premier jour de réouverture de la mythique salle de concert.

Reb Beach dans sa position favorite (© Phil de Fer 2015)

Merci Monsieur Coverdale pour cette magnifique soirée. En sortant, le service d’ordre était toujours de faction pour assurer notre sécurité et nous avoir permis cette insouciance. Que ces hommes et femmes soient convaincus de notre infinie reconnaissance. WE WISH YOU WELL !