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Il nous l'avait personnellement confié l'hiver dernier , Michael Sweet sort son 6ème album solo intitulé "I'm Not Your Suicide" est à présent disponible. Le chanteur-guitariste de Stryper a invité pour l'occasion quelques amis : Tony Harnell (TNT), Kevin Max (DCTALK, AUDIO ADRENALINE), Chris Jericho (FOZZY), Doug Aldrich (WHITESNAKE), Electra Mustaine (la fille du leader de MEGADETH Dave Mustaine) ainsi que ses acolytes de STRYPER Robert Sweet et Timothy Gaines. Le batteur Kenny Aronoff (CHICKENFOOT) joue également sur cet excellent album qui permet une nouvelle fois d'entendre une voix magnifique et qui s'achève en apothéose avec une cover de Neil Young "Heart Of Gold". Signalons encore qu'une autobiographie de l'artiste ("Honestly - My life and Stryper revealed") sort simultanément. (Phil).
Sur le sujet :
http://phil-de-fer.eklablog.com/michael-sweet-stryper-l-interview-a105422104
"I'm Not Your Suicide" :
01. Taking On The World Tonight (avec Tony Harnell)
02. All That's Left (For Me To Prove)
03. The Cause
04. This Time (avec Kevin Max)
05. I'm Not Your Suicide (co-écrit par Blair Daly)
06. Coming Home
07. Miles Away
08. Strong
09. How To Live (avec Robert Sweet and Timothy Gaines of Stryper)
10. Heart Of Gold
11. Anybody Else (featuring Chris Jericho et Doug Aldrich)
12. Unsuspecting
13. Heart Of Gold (avec Electra Mustaine) (bonus Track)http://www.michaelsweet.com/
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Malgré la concurrence de plus en plus vive des autres festivals Metal : Hellfest (France), Bang Your Head (Allemagne), Download (Angleterre),… la 19è édition officielle du Graspop a accueilli une foule enthousiasme qui s’est déplacée de toute l’Europe. Après trois jours de pluie, un soleil radieux a accueilli 32 groupes le dimanche ainsi que cinquante mille aficionados qui s’étaient donné rendez-vous pour une affiche à nouveau très disparate puisqu’on retrouvait notamment les macabres Death DTA, les hardos de Scorpions of Child, les métalleux symphonistes de Rhapsody Of Fire et le groupe de Metalcore Heartbreed. La nouvelle formule avec deux scènes principales(comme à Clisson) a rencontré un franc succès selon les organisateurs. Une organisation parfaite qui allait d’ailleurs permettre d’enchaîner les prestations. Les joyeux musicos d'Anthrax se sont bien éclatés sur « I am the law » et leur cover d’« Antisocial ». C’est ensuite avec le Vandenberg’Moonkings que nous pûmes découvrir la scène du Metal Dome. La formation de l’ancien guitariste de Whitesnake a suscité les plus vives satisfactions. On se réjouit déjà de revoir le quatuor au Raimes Fest en septembre.
Vandenberg’Moonkings : Belle surprise
Copyright Phil de Fer © 2014
Jerry Cantrell (Alice in Chains) : redécouverte
Copyright Phil de Fer © 2014
Beaucoup de passion déployée aussi pour Sebastian Bach, un chanteur qui tire toujours son épingle du jeu et qui fut l’un des héros de la journée. Sur la mainstage 1, on saluera la prestation sobre et efficace d’Alice in Chains. En revanche, l’autre formation de Seattle, Soundgarden n’a pas donné, en soirée, la pleine mesure de son talent. Chris Cornell et ses musiciens n’ont recueilli des applaudissements que par estime et respect de l’assistance. Juste avant la tête d’affiche, Rob Zombie a lui déclenché une grosse ferveur avec son croque monstre show. Les nombreuses pitreries physiques du chanteur, associées aux prestigieuses démonstrations de six-cordes de John 5, parvinrent à convaincre la foule. Enfin, la vieille garde sonnait son retour pour la joie, intense des spectateurs demeurés entièrement dévoués à la cause de Black Sabbath. Certes, Ozzy Osbourne (65 piges tout de même) n'a plus le ton juste et oublie même de chanter dans le micro ("Iron Man") mais on s’en bat les nouilles, voir la légende sur scène en 2014 et entendre « War pigs », "Snowblind" ou "Paranoid" balancés par trois des quatre membres du groupe d'origine suffit à notre bonheur. Une belle apothéose ! (Philippe Saintes)
Chris Cornell (Soundgarden), un look à la Johnny Depp
Copyright Phil de Fer © 2014
Ozzy clown dément
Copyright Rudy De Doncker © 2014
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En 1990, l’album Pornograffitti avait reçu les éloges de la presse internationale. Cet album mêlant la musique épique de Queen, les envolées de haute voltige de Van Halen et le hard-fusion des Red Hot Chilli Peppers, avait atteint la 10è place au Billboard 200 US (double disque de platine). 24 ans plus tard, les revenant funksters bostoniens, rejouent sur scène l’intégralité de ce disque légendaire.
"More Than Words" : indémodable
Nous avons assisté samedi à l’époustouflante prestation d’Extreme au « Live Hall » de Cologne, dernière date du volet européen de sa tournée mondiale. Nuno Bettencourt a une fois de plus été à la hauteur de sa réputation avec un toucher phénoménal et des interventions instrumentales percutantes : l’intro « Flight of the Wounded Bumblebee » sur « He-Man Womant Hater » et un solo acoustique édifiant (« Midnight Express ») pendant le rappel. Le tandem rythmique Pat Badger-Kevin Figuerido (le remplaçant de Paul Geary) continue d’apporter le groove qui fait la force d’Extreme. Gary Cherone, impressionnant de maîtrise technique, bondit partout en enchaînant les classiques « Decadence Dance », « Get The Funk Out » et « When I’m President ». Le show se poursuit en douceur avec l’inoubliable ballade « More Than Words » reprise en cœur par la foule.
Gary Cherone : grand performer
En plus des titres de Pornograffitti, le groupe a délivré des morceaux imparables comme « Play with me », « Rest in Peace », « Am I Ever Gonna Change » et « Cupid’s Dead » qui ont clôturé cet excellent concert. Touché par l’accueil, les quatre sympathiques musiciens sont ensuite descendus dans la fosse pour saluer les fans après deux heures de musique. La grande classe !
Phil de Fer
Extreme : toujours brillant !
Nuno et sa Washburn N4
Pat Badger avait prédit la victoire de la Mannschaft en finale de la CM
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